BlogCanton de Saint-Pol-de-Léon

30 août 2020

Il faut aider la Brittany Ferries et ses emplois !

La Brittany Ferries, acteur majeur de l’économie bretonne, et léonarde en particulier, est actuellement mise à mal par la crise sanitaire et économique que nous traversons.

Forte de ses près de 2,5 millions de passagers par an et de ses 2 400 à 3 100 salariés (selon la saison), la Brittany Ferries est un acteur essentiel du déplacement transmanche. Toutefois, avec la crise du Covid-19 et la quatorzaine imposée aux passagers à l’arrivée au Royaume-Uni, le trafic entre la Grande-Bretagne et la France a radicalement chuté, occasionnant près de 63 000 annulations sur la saison.

Cela représente une chute de près de 25% du nombre de passagers sur juillet-août et une perte sèche de 250 millions d’euros de chiffre d’affaires.

En conséquence, la Brittany Ferries a décidé de désarmer 6 de ses 12 navires, et de placer 40% de ses salariés au chômage partiel.

Afin de s’en sortir, la compagnie finistérienne a contracté un prêt garanti par l’État (PGE) de 117 millions d’euros pour éviter la liquidation, mais ce prêt n’est qu’une solution de court terme et un poids pour son avenir.

Un plan de relance adapté doit être mis en place au plus vite !

Les Présidents des Régions de Bretagne, de Normandie et des Hauts-de-France ont d’ores et déjà exprimé leur volonté de mise en place d’un tel plan d’urgence entre l’État et les collectivités concernées.

Le Département du Finistère est particulièrement concerné, par l’implantation de la société sur son territoire, mais également en tant qu’actionnaire à 12% de la SEM SABEMEN, partie intégrante d’un dispositif mis en place par les collectivités locales et la compagnie maritime pour le financement des navires, et donc propriétaire de certains bateaux.

A ce titre, Aline CHEVAUCHER et Maël DE CALAN, Conseillers départementaux du canton de Saint-Pol-de-Léon, en appellent à l’État pour un soutien national massif visant à soutenir ce fleuron de notre économie locale et les milliers d’emplois qui y sont attachésen complément des engagements pris par les collectivités.

7 décembre 2017

1 million d’euros pour la SEGPA du collège Jacques Prévert

Lundi 4 décembre, le Conseil départemental a enfin voté à notre demande les crédits qui permettront de démarrer la réovation complète des locaux de la SEGPA (Sections d’Enseignement Général et Professionnel Adapté) du collège Jacques Prévert.

Nous sommes très heureux de ce vote qui intervient après deux ans de pression politique.

Ce vote va permettre d’achever la rénovation du collège qui constituait l’un des objectifs de notre mandat. Nous avions déjà obtenu que la programmation des travaux débute en octobre 2016, sans attendre que les crédits soient débloqués, afin que la rénovation ne prenne pas de retard.

Nous tenons à remercier la municipalité qui a fortement appuyé ce dossier SEGPA à nos côtés : Nicolas Floch (maire) et Joëlle Tous-Madec, adjointe à la jeunesse et aux affaires sociales.

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20 juillet 2017

A Plouénan, retour à la semaine de 4 jours

A Plouénan, commune de 2500 habitants, la maire a fait le choix de revenir sur la réforme des rythmes scolaires. Épuisement des enfants, désorganisation des parents, surcoûts pour la commune : pour certaines communes rurales, ces nouveaux rythmes scolaires étaient devenus un vrai casse-tête.

« En avril, au cours du dernier comité de pilotage des rythmes scolaires, constatant la fatigue des enfants en fin de semaine, avec davantage de chamailleries dans la cour, des pleurs avant d’aller à l’école le matin, leur manque de concentration, on s’est beaucoup interrogé. Ne fallait-il pas, pendant les TAP, privilégier des temps calmes, sans activité ? Des temps de relaxation avec des coussins et des lampes avec ciel étoilé. On s’est alors regardés et on s’est dit houla ! On en arrive à des aberrations ! »

Aline Chevaucher – Saint-Pol-de-Léon

Retrouvez le témoignage complet d’Aline Chevaucher sur le site du journal Libération :

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24 juin 2016

Séance du 23 juin 2016 – Intervention de Maël de Calan sur le Projet départemental

Le Conseil départemental débattait jeudi 23 juin de son projet pour les cinq ans à venir. L’Alliance a opposé au projet de la majorité socialiste son propre contre-projet, sur fond de détérioration de la situation du département. Le Finistère se retrouve en effet confronté à plusieurs défis :

  • La crise agricole et agro-alimentaire, prolongée et amplifiée par l’absence de réaction de la part du Conseil Départemental.
  • La fuite des centres de décision, responsable d’un enclavement de plus en plus important.
  • L’augmentation des dépenses de solidarité, dont le financement doit être assumé.

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14 juin 2016

Rendre des comptes aux électeurs en toute transparence

 

En mars 2015  à la suite des élections départementales, l’Alliance pour le Finistère a multiplié par deux le nombre de ses élus. Sur les 24 conseillers qui composent le groupe, 21 sont de nouveaux élus. Ils portent un regard neuf sur l’action du Conseil départemental, et souhaitent rendre des comptes aux Finistériens sur l’usage qui est fait des moyens du département et sur les politiques qui sont conduites.

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