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27 septembre 2020

La droite et le centre sortent vainqueurs des sénatoriales – Bérézina pour le parti socialiste !

Dans le Finistère, les élections sénatoriales de ce dimanche 27 septembre marquent une victoire historique des listes présentées par la droite et le centre, avec l’élection de Philippe PAUL, Michel CANEVET et Nadège HAVET.

Les 24 Conseillers départementaux de l’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE se réjouissent de cette victoire et adressent leurs félicitations amicales aux trois Sénateurs élus. Le Finistère sera mieux défendu demain grâce à eux, alors qu’une crise économique et sociale très grave s’annonce.

Pour la liste du Parti socialiste, sur laquelle figuraient à la fois la présidente du Conseil départemental Nathalie SARRABEZOLLES et son vice-président Marc LABBEY, ce scrutin est une Berezina et marque une double sanction :

  • Sanction de la politique conduite au département, marquée par l’abandon des territoires ruraux (suppression de l’aide à la voirie communale, forte baisse des dotations d’aménagement), l’absence de tout projet de développement pour le Finistère, et la disparition du département des écrans radars alors même qu’une grave crise économique et sociale s’annonce ;
  • Sanction des petites combines politiques, et notamment du jeu de chaises musicales entre Nathalie SARRABEZOLLES et Marc LABBEY, qui s’étaient distribué les postes avant les élections, sans aucune considération pour les milliers d’agents du département qui se retrouvaient sans cap et sans capitaine.

La Présidente du Conseil départemental qui se pensait déjà Sénatrice, et son Vice-président qui se voyait déjà à sa place, vont maintenant devoir assumer leur très mauvais bilan lors des prochaines élections départementales.

23 septembre 2020

Non à la fermeture de la prépa Lettres du lycée Lapérouse-Kerichen de Brest !

Brest, cité scolaire de Kérichen, photo Le Télégramme

Une des deux classes d’hypokhâgne du lycée Lapérouse-Kerichen de Brest fermerait, selon une proposition de l’Académie de Rennes pour la rentrée 2021. C’est que qu’ont appris avec stupeur les enseignants, universitaires, étudiants et élus du territoire.

La seule explication possible à cette proposition non motivée par une baisse de fréquentation, est la volonté de l’Académie de créer une classe préparatoire scientifique MP21 à Rennes, au lycée Châteaubriand, à coût constant.

Mais fermer cette classe reviendrait à attenter à l’égalité des chances dans tous les territoires bretons !

80 étudiants suivent actuellement ces cours à Brest, et la grande majorité d’entre eux sont Finistériens.

La disparition à terme de cette filière serait par ailleurs la suite logique de la dynamique qu’enclencherait cette division par deux des effectifs actuels.

Les élus de l’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE en appellent donc à Monsieur le Recteur d’Académie pour réexaminer cette proposition, avec en ligne de mire la sauvegarde de l’égalité des chances pour les élèves de notre territoire.

 

Maël DE CALAN, Président de l’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE

Véronique BOURBIGOT, Conseillère départementale du canton de Brest-4

Pierre OGOR, Conseiller départemental du canton de Brest-4

8 septembre 2020

Stop à l’agribashing et aux intimidations contre nos agriculteurs !

La fin du mois d’août a été marquée par une nouvelle vague d’agribashing à l’encontre de nos agriculteurs finistériens.

Le mois de juillet dernier avait déjà été entaché des propos du député de Brest-Centre, en marge d’un soutien à l’idée d’un référendum sur la condition animale, qui avait évoqué des « pratiques cruelles d’un autre âge » en parlant des élevages bretons, et une nécessaire « sortie de ce mode de production qui est un holocauste quotidien ».

L’utilisation d’un terme porteur d’une telle connotation historique constituait bien entendu une insulte pour plus de 42 000 Finistériens vivant directement ou indirectement de l’agriculture et plus particulièrement pour les agriculteurs et les éleveurs.

Mais dans la suite logique de ces propos, un nouveau palier a été franchi puisque des tags injurieux ont été peints sur plusieurs exploitations agricoles, et en particulier celle de Jean-Alain Divanac’h, président de la FDSEA 29, située à Plonévez-Porzay, et de son fils Guillaume Divanac’h, jeune agriculteur récemment installé.

Outre la dégradation en elle-même, ces tags reprennent les thèmes de cette détestable polémique en associant l’agriculture finistérienne à la Mafia d’abord, puis et surtout au nazisme, faisant même explicitement référence au camp de concentration d’Auschwitz.

L’ignominie de telles inscriptions est plus qu’insultante pour nos paysans mais également pour les victimes et familles de victimes de la Seconde Guerre mondiale qui ne peuvent souffrir de telles comparaisons.

Les insultes se mêlent donc désormais aux dégradations et à l’insécurité ressentie par des agriculteurs et leurs familles dans leurs propres domiciles.

Les 24 élus de l’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE s’associent bien entendu à la colère et à l’émotion de ces éleveurs et de leurs familles, et espèrent que les voyous responsables de ces actes seront rapidement interpellés et jugés de manière exemplaire.

Nos agriculteurs sont à bien des égards exemplaires, et la récente crise a encore démontré leur importance, d’ailleurs particulièrement saluée par toutes et tous pendant cette période.

Ils doivent donc être aujourd’hui clairement et fortement soutenus contre ces agissements inacceptables !

30 août 2020

Il faut aider la Brittany Ferries et ses emplois !

La Brittany Ferries, acteur majeur de l’économie bretonne, et léonarde en particulier, est actuellement mise à mal par la crise sanitaire et économique que nous traversons.

Forte de ses près de 2,5 millions de passagers par an et de ses 2 400 à 3 100 salariés (selon la saison), la Brittany Ferries est un acteur essentiel du déplacement transmanche. Toutefois, avec la crise du Covid-19 et la quatorzaine imposée aux passagers à l’arrivée au Royaume-Uni, le trafic entre la Grande-Bretagne et la France a radicalement chuté, occasionnant près de 63 000 annulations sur la saison.

Cela représente une chute de près de 25% du nombre de passagers sur juillet-août et une perte sèche de 250 millions d’euros de chiffre d’affaires.

En conséquence, la Brittany Ferries a décidé de désarmer 6 de ses 12 navires, et de placer 40% de ses salariés au chômage partiel.

Afin de s’en sortir, la compagnie finistérienne a contracté un prêt garanti par l’État (PGE) de 117 millions d’euros pour éviter la liquidation, mais ce prêt n’est qu’une solution de court terme et un poids pour son avenir.

Un plan de relance adapté doit être mis en place au plus vite !

Les Présidents des Régions de Bretagne, de Normandie et des Hauts-de-France ont d’ores et déjà exprimé leur volonté de mise en place d’un tel plan d’urgence entre l’État et les collectivités concernées.

Le Département du Finistère est particulièrement concerné, par l’implantation de la société sur son territoire, mais également en tant qu’actionnaire à 12% de la SEM SABEMEN, partie intégrante d’un dispositif mis en place par les collectivités locales et la compagnie maritime pour le financement des navires, et donc propriétaire de certains bateaux.

A ce titre, Aline CHEVAUCHER et Maël DE CALAN, Conseillers départementaux du canton de Saint-Pol-de-Léon, en appellent à l’État pour un soutien national massif visant à soutenir ce fleuron de notre économie locale et les milliers d’emplois qui y sont attachésen complément des engagements pris par les collectivités.

20 juillet 2020

Soutien aux agriculteurs et aux salariés de l’agroalimentaire !

En marge d’un soutien à l’idée d’un référendum sur la condition animale, le député de Brest-Centre s’en est pris violemment à l’agriculture bretonne et en particulier à l’élevage, parlant de « pratiques cruelles d’un autre âge ».

Il incite notamment à « une sortie de ce mode de production qui est un holocauste quotidien ».

L’utilisation d’un terme porteur d’une telle connotation historique est une insulte pour les plus de 42 000 Finistériens vivant directement ou indirectement de l’agriculture et plus particulièrement pour les agriculteurs et les éleveurs.

Au gré des évolutions législatives, des débats de société, et des changements de mentalité, l’agriculture française a su évoluer et se réinventer comme peu d’autres milieux professionnels.

Tous les débats peuvent avoir lieu, et le monde agricole est bien souvent le premier à y participer, mais cette surenchère dans la violence des termes n’est en rien constructive.

Les premières victimes en sont les agriculteurs et les éleveurs qui sont régulièrement et injustement victimes de cet agribashing, ce qui participe à tant de drames humains silencieux dans nos campagnes.

De la même manière, cette attaque stérile et frontale d’un syndicat agricole largement majoritaire au sein de la profession et ayant pris sa part à ses évolutions récentes, ne semble pas démontrer une volonté de respect vis-à-vis de nos paysans.

Hier encore, nos agriculteurs et éleveurs étaient salués pour n’avoir jamais faibli pendant la crise et avoir approvisionné tout  le pays.

N’oublions pas ce que nous devons à ceux qui nous nourrissent !

6 juillet 2020

L’Alliance pour le Finistère propose un plan départemental de relance par l’investissement pour répondre à la crise

L’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE a proposé lors de la Séance plénière du Conseil départemental de ce lundi 06 juillet, par la voix de son Président Maël DE CALAN, un vaste plan de relance de l’économie finistérienne par l’investissement.

Chaque année, le département dépense plus de 100 millions d’euros en investissements.

Des investissements sont d’ores et déjà expertisés et planifiés sur les prochaines années, dans le cadre de schémas pluriannuels.

L’ALLIANCE propose d’avancer une partie de ces travaux en 2021, pour soutenir l’activité des secteurs du bâtiment et des travaux publics qui sont très créateurs d’emploi, alors même que le pays va rentrer dans la plus grave crise économique de son histoire récente.

Le département pourrait augmenter sur l’année 2021 ses dépenses d’investissement de 50 millions, sans effet sur la dette à moyen terme, puisque ces travaux, déjà planifiés, auraient de toutes façons été réalisés dans l’avenir.

En particulier, cette relance par l’investissement pourrait concerner :

  • Les routes: le département gère 3 500 km de voirie sur lesquels des chantiers sont programmés sur plusieurs années ;
  • La production de logements sociaux: en soutenant Finistère Habitat pour que tous les chantiers prévus reprennent au plus vite, et pour anticiper la construction de logements ;
  • Les bâtiments départementaux et notamment les collèges: une stratégie de rationalisation et d’entretien du parc immobilier est engagée, elle devrait être intensifiée pour générer de l’activité économique, par exemple en accélérant la rénovation énergétique des collèges ;
  • Les projets portés par les communes et les communautés de communes dans le cadre des contrats de territoire.

Tous ces investissements qui sont nécessaires et pas somptuaires sont autant de bulles d’oxygène essentielles à la survie de notre tissu économique.

Il y a deux attitudes possibles : celle de l’attentisme ou celle de la mobilisation générale pour relancer l’économie locale.

1 juillet 2020

Les belles victoires de la droite et du centre finistériens !

Le dimanche 28 juin dernier avait lieu le second tour des élections municipales, mettant fin à un cycle électoral inédit et complexe. Malgré une abstention record, toutes les équipes municipales sont désormais prêtes à entamer un nouveau mandat.

L’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE tient à remercier les Finistériens qui ont renouvelé leur confiance aux élus de la droite et du centre dans la majorité des communes du département.

La droite et le centre progressent sur le territoire avec un nombre de mairies plus important qu’en 2014, grâce aux victoires dans une vingtaine de communes jusqu’alors tenues par des maires d’une autre sensibilité.

L’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE se réjouit de la victoire de Jocelyne POITEVIN à Douarnenez, de Nathalie TANNEAU à Tréffiagat, d’Elisabeth GUILLERM à Guimiliau et d’Yvan MOULLEC à Plouhinec qui ont tous les quatre étés nouvellement élus maires.

L’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE se réjouit également de la victoire de ses Conseillers départementaux réélus à la tête de leurs mairies : Jacques GOUEROU à Cast, Cécile NAY à Gouézec, Raymond MESSAGER à Landudal, Aline CHEVAUCHER à Plouénan, Pierre OGOR à Guillers, Bernard GIBERGUES à Bourg-Blanc, Marguerite LAMOUR à Ploudalmézeau, et Pascal GOULAOUIC à Plounéour-Brigognan-Plage, ou en qualité de membre de l’exécutif municipal comme Jean-François LE BLEIS à Plonéour-Lanvern, Jocelyne PLOUHINEC à Plogastel-Saint-Germain, ou Monique PORCHER à Crozon.

Félicitations enfin à nos Conseillers départementaux qui siègeront dans les groupes d’opposition pour y défendre nos valeurs communes.

Le groupe des élus de la droite et du centre au Conseil départemental confirme ainsi son ancrage local dans les territoires finistériens.

Les vingt-quatre élus de l’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE tiennent également à adresser leurs plus sincères félicitations à Stéphane ROUDAUT à Gouesnou, Roger LE GOFF à Fouesnant, Marc BIGOT à Concarneau, Gaëlle NICOLAS à Châteaulin, Patrick LECLERC à Landerneau, Laurence CLAISSE à Landivisiau, Yves DU BUIS à Plouzané, Dominique CAP à Plougastel-Daoulas, Josiane KERLOCH à Plonéour-Lanvern, Stéphane LE DOARE à Pont-l’Abbé, Gilles MOUNIER à Saint-Renan, Fabrice JACOB à Guipavas, Stéphane CLOAREC à Saint-Pol-de-Léon, Patrick BERTHELOT à Crozon, Viviane GODEBERT à Locmaria-Plouzané, Armel GOURVIL à Bohars, et tant d’autres !

Ces belles victoires sont le terreau de l’alternance au Conseil départemental du Finistère !

12 mai 2020

Recours contre la carte scolaire : un manque de concertation dénoncé par l’ALLIANCE !


Le 31 janvier 2020, en Séance plénière, le Conseil départemental du Finistère adoptait la nouvelle carte scolaire, c’est-à-dire la répartition des élèves par collège en fonction de leur commune de résidence.

Dès la rentrée de septembre, les collégiens de la commune de Gouesnou auront par exemple obligation d’être inscrits à Penn ar C’hleuz à Brest, alors qu’ils avaient jusqu’à présent la possibilité de s’inscrire au Vizac, à Guipavas. Cette option, désormais proscrite, était pourtant la plus prisée par les parents d’élèves.

Stéphane ROUDAUT, maire de Gouesnou, a donc déposé deux recours contre cette décision du Département, portant  selon lui « atteinte à la liberté des familles ». L’édile juge ainsi préférable d’attendre 2023 et l’ouverture du nouveau collège de Landerneau pour établir une carte en concertation avec tous les acteurs.

Il dénonce également un manque de concertation et une absence de réunion publique.

Ces recours ne constituent malheureusement pas une surprise !

En effet, lors de la Séance plénière du Conseil départemental, l’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE avait déjà dénoncé la mise en place unilatérale de cette nouvelle carte scolaire.

Véronique BOURBIGOT, élue avec Pierre OGOR du canton de Brest-4 (comprenant la commune de Gouesnou), a ainsi pris la parole à cette occasion pour dénoncer la méthode : « La décision a été prise trop rapidement et sans concertation. Les familles auraient aimé être prévenues plus tôt. Vous êtes passé en force ! ».

L’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE avait ainsi refusé de voter en faveur de la nouvelle carte, en mettant en garde la majorité socialiste contre des contestations locales, ce qui est aujourd’hui le cas.

Nous en appelons donc une fois de plus à une meilleure concertation avec les territoires !

Lire ici l’article du Ouest-France.

 

Maël DE CALAN, Président de l’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE

Véronique BOURBIGOT, Conseillère départementale du canton de Brest-4

Pierre OGOR, Conseiller départemental du canton de Brest-4

 

 

Source : carte issue du Télégramme

4 mai 2020

#RendezNousLaMer

Le Premier ministre Édouard Philippe a annoncé le 28 avril dernier la prolongation de l’interdiction d’accès aux plages et sentiers côtiers au moins jusqu’au 1er juin prochain.

La crise sanitaire que traverse le pays oblige le Gouvernement à prendre des mesures fortes et sa tâche n’est pas aisée.

Toutefois, les quatre départements de la Bretagne administrative, avec leurs 500 km de plages, sont aujourd’hui classés en vert selon la carte nationale publiée en vue du déconfinement.

Jusqu’à présent les Finistériens ont été très responsables dans le respect des règles du confinement. Mais ce littoral fait partie intégrante de leur vie et pouvoir à nouveau en profiter, raisonnablement, est une aspiration légitime et entendable.

En effet, à partir du 11 mai prochain, les bois et parcs seront à nouveaux accessibles, alors pourquoi pas les plages, grèves et sentiers littoraux où le risque serait bien moins élevé que dans d’autres lieux plus exigus d’ors et déjà autorisés ?

Il en va de même pour les activités nautiques, qui sont parfaitement envisageables dans le respect de la distanciation physique imposée, comme pour le vélo qui sera lui à nouveau autorisé dès le 11 mai.

Le respect du périmètre de 100 km limitant toujours les grands déplacements, un afflux massif de vacanciers sur les plages n’est d’ailleurs pas à redouter.

L’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE en appelle donc au Gouvernement et au Préfet du Finistère pour que le bon sens l’emporte et que, dans le respect des préconisations sanitaires, les plages, grèves et sentiers littoraux soient à nouveau accessibles aux Finistériens, ainsi que les activités nautiques.

4 février 2020

Il faut tendre vers l’égalité des tarifs de la restauration scolaire !

A l’occasion du vote du Budget 2020 pour les collèges du Finistère, Maël DE CALAN a pris la parole au nom de l’ALLIANCE POUR LE FINISTÈRE afin de regretter l’absence d’égalité de traitement dans les tarifs des cantines scolaires entre les collégiens du public et ceux du privé.

En effet, alors que le prix moyen du repas dans un collège public est de 3,09 € pour les familles, il est en moyenne de 6 € dans un collège privé.

Cette différence s’explique par la participation du Conseil départemental aux frais des collèges publics. En effet, le coût réel d’un repas est en moyenne de 8 € dans tous les établissements. Pour les collèges relevant du réseau public, le Conseil départemental paye 4,91 € par repas, en laissant donc 3,09 aux ménages. Pour les établissements du réseau privé, faisant sans cette subvention décisive, seuls 2 € sont pris en charge par l’établissement lui-même, laissant donc 6 € à la charge des familles.

Pourtant la loi permet au Conseil départemental d’augmenter ses Dotations de fonctionnement des collèges privés afin de tendre vers l’égalité de ces tarifs pour tous les élèves.

Sur une année scolaire, cela représente en moyenne une charge de 420 € de plus pour les familles des collégiens du privé !